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La récente cyberattaque orchestrée par des hackers contre un site ministériel marocain a mis à nu, une fois de plus, la duplicité du Makhzen et son incapacité à assumer ses défaites.

Par Samir MÉHALLA

Alors que Rabat tente de minimiser l’impact du piratage en mentant effrontément sur la nature des données compromises, la réalité est tout autre : les preuves sont accablantes, et le régime marocain, habitué à la désinformation, se retrouve coincé dans ses propres contradictions.

Un piratage retentissant

Le groupe de hackers «Jabaroot» a frappé là où ça fait mal, en s’attaquant à un portail gouvernemental marocain, en représailles aux cyberattaques systématiques menées par des entités marocaines. Des captures d’écran circulent, attestant de la sensibilité des informations récupérées, contrairement aux balivernes propagées par le guignol ministère marocain concerné. Ce ministère, dirigé par un certain Younes Sekkouri, tente désespérément de sauver les apparences en prétendant que le site ne contenait que des données publiques. Une fable grotesque, destinée à masquer l’ampleur de la faille sécuritaire. Comment croire un instant qu’un site ministériel ne renfermerait aucune donnée stratégique ? Cette tentative pathétique de désinformer ne fait que confirmer la panique qui règne dans les cercles du pouvoir marocain.

La stratégie marocaine de la provocation : un jeu dangereux

Depuis des années, le Maroc, soutenu par ses parrains sionistes, américains et français, mène une guerre sournoise contre l’Algérie. Cyberattaques, campagnes de déstabilisation, espionnage… Tous les coups sont permis pour un régime qui, incapable de rivaliser sur le terrain diplomatique ou économique, s’adonne à des méthodes de voyou. Mais les temps changent. La géopolitique mondiale est en pleine mutation, et les protecteurs traditionnels du Makhzen – Washington, Paris et Tel-Aviv – sont eux-mêmes en train de perdre pied. Les États-Unis, empêtrés dans leurs crises internes, ne sont plus en mesure de jouer les gendarmes du monde. Les sionistes, quant à eux, voient en l’Algérie un adversaire redoutable, une nation qui refuse de plier l’échine devant leur hégémonie.

Un peuple frère transformé en ennemi : la trahison marocaine

Ce qui devait être une relation de fraternité et de coopération s’est mué en une hostilité ouverte, alimentée par les manœuvres toxiques et la cupidité du Makhzen. Les Algériens n’ont jamais cherché la guerre, mais ils ne se laisseront pas intimider par un voisin belliqueux, prêt à vendre son âme aux puissances étrangères pour satisfaire ses ambitions démesurées. Le Maroc a franchi toutes les lignes rouges. Ses attaques répétées contre l’Algérie, son alignement servile sur les agendas occidentaux et sionistes (5000 soldats marocains ont fait la peau aux Palestiniens), et ses tentatives désespérées de provoquer un conflit régional en font désormais une menace pour toute la stabilité du Maghreb.

L’Algérie, bastion de la résistance, Mecque des révolutionnaires

Face à ces manigances, l’Algérie reste debout. Les hackers de «Jabaroot», s’ils s’avèrent être Algériens, ne sont que le reflet d’une jeunesse algérienne déterminée à riposter, par tous les moyens, aux agressions marocaines. Et ce n’est là qu’un minime aperçu de la fin de la patience. Le Makhzen peut mentir, manipuler et nier tant qu’il veut : la vérité finit toujours par éclater. L’histoire jugera. Et elle retiendra que, tandis que le Maroc s’enfonçait dans la servitude et la provocation, l’Algérie, elle, a tenu bon, défendant sa souveraineté et ses principes avec une intransigeance digne des plus grandes nations. La partie est loin d’être terminée. Et le Maroc ferait bien de méditer cette leçon : on ne provoque pas impunément un peuple qui a fait de la résistance une vertu nationale.

S.M.

Source : CRESUS, 10/04/2025

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