Avec Trump, Mohammed VI et ses nervis font dans leurs frocs

Les gouvernants du Maroc, y compris le roi Mohammed VI, tremblent face à l’investiture aujourd’hui de Donald Trump.
C’est la raison pour laquelle ils ont effacé toute trace d’une déclaration qui pourraient inquiéter leur opinion publique ou contrarier le nouveau locataire de la Maison Blanche. A titre d’exemple, ils ont demandé au mercenaire médiatique, Jeune Afrique, de supprimer une interview avec Mohamed Tozy.
L’article effacé de Jeune Afrique
« Au Maroc, Trump est une sorte d’ogre inconnu »: Ce sont les propos de ce politologue et sociologue marocain repris dans cette interview dont des traces sont restées sur le web grâce à la copie de la mémoire cachée conservée par Google
Copie gardée dans la mémoire cache de Google
Il a ajouté qu’il y a « une certaine appétence » pour la personne de Hillary Clinton et le Maroc, « compte sur sa connaissance du pays et en particulier du dossier du Sahara ». Une position que Rabat a gagné moyennant un don de 28 millions de dollars à la Fondation Clinton, selon des révélations faites par la presse américaine. 
Le nouveau président yankee pourrait en tenir compte et c’est une des raisons qui font paniquer au palais royal marocain.
Pour Donald Trump, le Maroc fait partie des nations dont les ressortissants pourraient mener des attaques terroristes sur le sol américain. Il a qualifié les marocains d’animaux, selon une dépêche de l’AFP largement reprise par la presse marocaine. ‘‘Nous avons affaire à des animaux’’, a déclaré Trump en allusion aux immigrés provenant de l’Afghanistan, d’Irak, du Maroc, du Pakistan, des Philippines, de Somalie, de Syrie, de l’Ouzbékistan et du Yémen.

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*