Maroc: Le viol avec la bouteille, une spécifité marocaine

On parle souvent d’une prétendu « spécifité marocaine » dans le but de dissimuler les graves violations des droits de l’homme par la monarchie marocaine contre ses citoyens et on oublie de citer la seul chose qui fait du Maroc une véritable exception : l’obsession sexuelle des bourreaux marocains qui les pousse à enfoncer une bouteille ou une matraque dans l’anus du prisonnier.

C’est une pratique très répandue, voire généralisée dans les commissariats et prisons du Maroc dont le but est d’humilier le prisonnier et lui faire regretter d’être né. Une pratique qui n’existe nulle partr ailleurs.

D’autres méthodes de torture sont pratiqués dans ce royaume allié de la France. Parmi elles :

* introduction de bouteilles dans l’anus,

* épilation de la moustache et cheveux,

* arrachement forcé des ongles des mains et des pieds ,

* coups assénés à un rythme progressif sur l’ensemble du corps et sur la plante des pieds par des matraques en caoutchouc ou en cuir  »queues des vaches » ,

* attachement à une barre en fer, les mains attachées derrière les genoux puis suspension en l’air et immersion d’un torchon sale dans la bouche suivi d’un versement , à un débit fort, de l’eau acidifiée jusqu’à perte de conscience ,

* brûlures  »à l’aide des mégots des cigarettes » sur l’ensemble du corps et surtout sur les zones sensibles comme les testicules pour les hommes et les seins pour les femmes ,

* exposition des organes génitaux au courant électrique ,

* immersion de la tête dans une mini-piscine remplie de l’eau acidifiée ou d’un mélange d’eau et des excréments ou de l’urine ou des produits chimiques  »eau de javel » jusqu’à étouffement , * exposition nu à un bain froid ,

* coups de poignée et gifles en particulier sur la tête, le visage et les organes génitaux ,

* aval forcé des excréments ,

* l’asphyxie partielle par la mise de la tête dans un sac en toile sale

* la mise forcée en position debout nu sur un pied pendant des heures ,

* cogner violemment la tête contre le mur ,

* privation du sommeil ,

* suspension en position  »poulet rôti » pendant des heures ,

* menace de liquidation à l’aide des pistolets ,

* isolement prolongé dans une cellule étroite ,

* viol et sévices sexuels contre les femmes ,

* insultes et humiliations ,

* isolement en présence des chiens dressés,

* les yeux bandés, les mains menottées en arrière, accroupis face au mur de la cellule, la tête orientée vers le haut ,

* absence des conditions hygiéniques favorables  »ni douche, ni changement périodique des vêtements, ni soins médicaux, ni couvertures, ni ensoleillement… » ,

* isolement total du monde extérieur » ni radio, ni télévision et ni journaux » ,

* interdiction parfois de faire la prière ou obliger les détenus à faire la prière.

Introduire un objet dans le derrière d’un prisonnier politique ne fait pas partie des instructions données par les autorités aux bourreaux, mais elle le produit de l’imagination d’un individu qui reflète la mentalité qui sévir dans la société marocaine. Une mentalité fondée sur la violence, l’injustice et l’humiliation et qui est derrière l’apparition du phénomène du tcharmil. Cette mentalité a émigré avec les sujets marocains et elle est perceptible quotidiennement dans leurs actes criminels. Ils portent la violence dans leur ADN.