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Le Maroc, cheval de Troye de la Françafrique en Afrique

Admin 27 décembre 2025
maroc cheval de troie afrique

Un certain nombre d'Etats d'Afrique de l'Ouest n'a jamais soutenu activement la lutte sahraouie. Certains analystes régionaux pensent que cela est dû au fait que leur politique extérieure a été historiquement liée à celle de l'ancienne puissance coloniale, la France, qui est un allié du Maroc

Tags : Maroc, France, Françafrique, Union Africaine, Sahara Occidental, RASD, corruption, pots-de-vin,

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les pays européens étaient en état d’épuisement et de dépression. Les empires coloniaux de la Grande-Bretagne et de la France ont compris qu’ils ne pouvaient plus maintenir l’ordre colonial. Au cours de ces années, le monde entier était concentré sur la guerre d’indépendance de l’Algérie avec le génocide et les crimes de guerre commis par la France. La France envisage d’établir un nouvel ordre dans les terres coloniales en dehors de l’Algérie afin de préserver sa sphère d’influence alors que les pays coloniaux seraient indépendants.

Décolonisation de l’Afrique subsaharienne

Le processus de la Communauté française, qui signifie la préparation à la décolonisation, a commencé en 1957. Le général Charles de Gaulle, arrivé au pouvoir en 1958, poursuit le processus avec son ami proche Jacques Foccart. Foccart est connu comme le père de l’ordre néocolonial appelé « Françafrique » aujourd’hui. La Françafrique, qui règne surtout en Afrique subsaharienne, a été le nom d’opérations secrètes, d’interventions, de réseaux d’intérêt néocoloniaux, d’activités commerciales illégales et de l’hégémonie incarnée par ces dernières depuis des décennies.

Les élites politiques dans les pays africains nouvellement indépendants ont été déterminées par les médias, les réseaux personnels et la source de soutien financier pendant le processus de décolonisation. Il faut noter que toutes les élites ont été éduquées en France métropolitaine, de sorte que la culture française était dominante parmi elles. D’autre part, pour comprendre ce qui est arrivé aux dirigeants politiques anticoloniaux, il suffira de regarder ce qui est arrivé à Félix-Roland Moumié, médecin et homme politique camerounais. Il a payé le prix de son idéologie politique anticoloniale d’une manière qui a été empoisonnée à mort en Suisse par le renseignement français SDECE en 1960.

Les élites militaires et bureaucratiques civiles ont été éduquées et ont servi pendant des années au nom de la République française. Beaucoup d’entre eux avaient des problèmes pour appartenir aux nouveaux États africains. Ils voyaient leur propre pays comme sous-développé alors que leur peuple et leurs politiciens étaient méprisés. Dans ces conditions, le premier coup d’État militaire en Afrique subsaharienne a eu lieu au Togo en 1963.

Après la fin de la guerre avec l’Algérie en 1962, ce coup d’État, mené par les soldats qui ont quitté l’armée française et est retourné dans leurs pays respectifs, a eu lieu avec la connaissance et le consentement de la France. Foccart le confirme dans ses mémoires que sur une partie significative des 214 coups d’État militaires qui ont eu lieu sur le continent africain, la France a une influence explicite ou implicite, directe ou indirecte.

Quant à l’élite économique, les deux sources de richesse dans les États nouvellement établis étaient l’appareil d’État et le capital étranger. Alors que les États d’Afrique francophone étaient soutenus par l’aide étrangère de la France, l’économie avait également besoin d’investissements français. Inutile de dire que dans ces circonstances, les acteurs économiques qui sont partenaires des entreprises françaises se sont renforcés.

Créer des dépendances à tous les domaines

Foccart établissait des liens directs avec les élites des pays décolonisés. En établissant des relations amicales avec certains, et des relations basées sur l’intérêt personnel avec d’autres, il avait rapidement construit un réseau néocolonial. Les relations directes ont rendu la Françafrique plus durable, mais tout cela ne suffisait pas seul. Des dépendances politiques, juridiques, financières, militaires et culturelles sont également nécessaires pour que la Françafrique réussisse. Les accords de défense et de coopération militaro-technique ont assuré à la France le droit de former des soldats locaux à intervenir dans le fonctionnement institutionnel des armées. Grâce à des accords militaires, la France a perpétué sa puissance militaire en Afrique subsaharienne et n’a même pas eu besoin d’établir des bases militaires dans toute la région. « Coopérants », « conseiller militaire », « spécialiste militaire », les ENVR (écoles militaires régionales du continent africain) ont toujours maintenu en vie un solide réseau militaire de la France dans la région. Un impact évident de tous ces acteurs sur la sécurité intérieure des Etats et surgit des crises pourrait être observé.

Jean-Bédel Bokassa, qui a renversé le président de la République centrafricaine David Dacko par un coup d’État militaire le premier jour de 1966 (coup d’État de Noël), a eu le plein soutien de la France lorsqu’il a établi une dictature dans le pays. Il a immédiatement déclaré son empire (!) À la suite de l’opposition, l’opposition a été éliminée de façon meurtrière. Le scandale de corruption de Bokassa avec l’ancienne présidente française Valérie Giscard D’Estaing, connue sous le nom d’affaire du diamant, est bien connu puisqu’il a été couvert dans les médias. En 1996, Bokassa, licencié par un coup d’Etat militaire soutenu par la France, a affirmé dans une interview que la France n’avait toujours pas payé pour l’uranium qu’elle prenait de la République centrafricaine. Aujourd’hui, la France, produisant de l’énergie avec ses 58 réacteurs nucléaires, fournit un tiers de l’uranium dont elle a besoin en République centrafricaine et les deux tiers du Niger.

Les pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale avaient également fait face à une pression pour avoir utilisé le Franc CFA avant d’obtenir leur indépendance de la France. Une partie importante des dépôts dans ces monnaies, qui sont encore en circulation aujourd’hui, sont stockés dans les banques françaises selon les accords. La République de Guinée, dirigée par Ahmed Sekou Touré, qui a refusé d’être incluse dans la région franc CFA et a fixé sa propre monnaie, a été sévèrement punie.

En 1959, le renseignement français a lâché des sacs remplis de faux francs de Guinée imprimés en France à partir d’hélicoptères et d’avions dans tout le pays. Cette opération est connue sous le nom d’« opération Persil » et avait duré des mois, jusqu’à ce qu’elle laisse l’économie guinéenne dans une position difficile. Touré a été exposé à de nombreuses tentatives d’assassinat et de coup d’État jusqu’en 1984. La France, qui a transformé son autorité sur la région CFA en un élément d’oppression et de sanctions contre les États africains, a dévalué le franc CFA de 50% pendant la période Mittérrand. Un autre pays puni pour Franc CFA était le Mali.

L’attitude hégémonique de la France est systématique

Paris, en collaboration avec un conseiller présidentiel spécial pour l’Afrique (cellule africaine) depuis Jacques Foccart, définit la politique étrangère africaine comme le « domaine résérvé du Président de la République » qui signifie « le domaine réservé au président français ». La terminologie informelle utilisée pour les pays ex-coloniaux donne une idée claire de l’univers de la Françafrique. L’attitude hégémonique de la France à l’encontre de ses anciennes colonies n’est ni historique, ni périodique mais systématique.

Union Africaine : Offensive musclée de la Françafrique

Dans les dernières années, l’Afrique a connu un nouveau réveil des consciences. Elle fait face énergiquement aux nostalgiques de la Françafrique. L’on parle de mettre fin au franc CFA dont l’existence rapporte à la France plus de 400 milliards d’euros, du pacte colonial et des accords de coopération signés lors des indépendances des états de l’Afrique francophone.

Cultivant des craintes pour ses intérêts menacés, la France a poussé ses pions à l’action. Le dernier sommet de l’Union Africaine a accouché une nouvelle configuration dans laquelle les alliés de Paris se trouvent pratiquement aux commandes de l’organisation panafricaine.

La situation décrite par Le Monde comme « Batailles d’influences pour la maîtrise de l’Union africaine », a donné comme résultat une influence très importante des pays francophones sur le fonctionnement de l’UA. Une réalité dont la France s’est félicité. Au point de presse du 31 janvier 2017, le porte-parole du Quai d’Orsay, a félicité l’élection du guinéen Alpha Condé à la tête de l’UA ainsi que « le retour historique du Royaume du Maroc au sein de l’UA où il a toute sa place ». Un « retour » qui aurait été impossible sans le soutien du Quai d’Orsay.

Selon l’ancien ministre et diplomate algérien, Abdelaziz Rahabi, « certains membres de la CEDEAO, traditionnellement sous influence française, ont servi de relais à la nouvelle politique africaine du Maroc ». Il rappelle que la Cédéao est parfois instrumentalisée pour servir de contrepoids à l’influence de l’Algérie et de l’Afrique du Sud au sein de l’Union Africaine.

Pour le journal kényan, Daily Nation, « il y avait un gros poisson, l’alliance des Etats francophones », qui a contribué à la défaite de Mme Amina Mohamed dans sa candidature `pour la présidence de la Commission Africaine. « Quatre des cinq présidents de la Commission proviennent des pays francophones. L’anglophone occasionnel était une idée venue presque après coup », ajoute le Daily Nation.

Pour le journal sudafricain News24, « le post important de commissaire aux affaires politiques a été octroyé à Minata Cessouma Samate, du Burkina Faso – un pays que l’Afrique du Sud considère trop proche de la France », ajoutant que « les Sud-Africains voulaient mettre en place un comité chargé d’examiner les requisites constitutionnels, une tactique qui vise aussi à gagner du temps en attendant l’expiration du mandat du président actuel de l’UA, le guinéen Alpha Condé, considéré comme sympathisant du Maroc ».

« Un certain nombre d’Etats d’Afrique de l’Ouest n’a jamais soutenu activement la lutte sahraouie. Certains analystes régionaux pensent que cela est dû au fait que leur politique extérieure a été historiquement liée à celle de l’ancienne puissance coloniale, la France, qui est un allié du Maroc », conclue News24.

Pour de nombreux observateurs, la France après avoir fait échouer, au Conseil de Sécurité, les efforts de l’ONU sur le conflit du Sahara Occidental, tente désormais de neutraliser le soutien actif aux sahraouis qui a caractérisé l’UA ces dernières années.

D’après le correspondant de RFI à Addis Abeba, « le problème du Sahara Occidental n’est plus entre les mains de l’ONU, qui a été incapable de trouver une solution en 33 ans, mais entre les mains de l’UA avec des rapports de forces très différents puisque les protagonistes ne sont plus seulement les hauts fonctionnaires de New York et les deux pays rivaux, mais tout un continent avec des intérêts contradictoires, des amitiés politiques et donc, forcément, des renvois d’ascenseur, des médiations, toute sorte d’échanges bien éloignés du Maroc et de l’Algérie ou du peuple sahraoui et qui vont, désormais peser très lourd dans la balance ». « 
Le Maroc a réintégré l’Union Africaine (UA) en janvier 2017, lors du 28e sommet à Addis-Abeba, après 32 ans d’absence suite à son départ en 1984 en protestation contre l’admission de la RASD (République Arabe Sahraouie Démocratique). La demane d’admission a enregistré d’emblée l’appui en sa faveur de 39 pays sur les 54 membres de l’UA, donc une majorité très confortable. L’Algérie a fait partie des pays comme l’Afrique du Sud, le Nigéria, l’Ouganda, le Soudan du Sud, la Namibie, le Zimbabwe, le Lesotho, le Mozambique, le Malawi et le Kenya qui ont quelque peu tenté de saisir les véritables visées du Makhzen à travers cette adhésion.
Il était cependant évident qu’Alger ne fasse aucune vague lors du vote. Les batailles diplomatiques n’ont désormais plus leur raison d’être au sein de l’actuel sommet. L’Algérie s’en sort rassurée -ou presque- de cette adhésion qui n’a posé aucun problème entre les pays membres de l’UA et à laquelle le Maroc n’a émis aucune condition préalable.

Mais la naïveté n’a pas de place dans la diplomatie, le lobbying et les alliances d’intérêts. Le Maroc n’est pas dupe pour se contenter d’une adhésion qui, il le savait pertinemment, n’allait pas être rejetée. La volonté du Maroc de rejoindre les rangs de l’UA ne date pas d’aujourd’hui. Elle est consacrée dans les procès-verbaux de la diplomatie algérienne depuis de longues années. Alger sait surtout que Rabat a usé de toutes les manœuvres auprès des pays africains pour réussir un retour « apaisé et serein » parmi eux.
Entre les longues années passées et lundi dernier, jour de la consécration de son adhésion à l’UA, le royaume marocain a franchi des pas considérables au sein du Continent. a France lui a été d’un grand appui dans cette conquête. Connue pour être son soutien indéfectible dans les grandes questions, la France ne pouvait ignorer la quête du Maroc de rejoindre l’UA sans lui assurer des relais à cet effet. Les services que le Maroc rend depuis toujours à la France(afrique) sont précieux.

Pour l’Algérie, l’entrée du Maroc aux côtés de la RASD est un grand acquis pour l’UA qui devra désormais œuvrer en faveur des dispositions de son acte constitutif imposant le respect des territoires et de leurs frontières. Ils sont certains que c’est une grande victoire des principes fondamentaux de l’Algérie et de ses convictions. Il serait ainsi illusoire pour les Marocains de penser un seul instant à faire réviser les statuts de l’UA en vue d’exclure la RASD. Si tel serait le cas, ce serait l’implosion de l’Union. Mais en ces temps de complots et de «printemps arabes » destructeurs, il serait judicieux de s’en prémunir le plus sûrement possible.
L’Afrique, des Peuples et des leaders anticoloniaux.

L’histoire de l’Afrique contemporaine a écrit en lettres d’or indélébiles des noms de «Chouhada» et des «Freedom fighter», du Cap de bonne espérance à Alger, la Mecque des révolutionnaires, pour libérer le Continent de ses colonisateurs extra-africains dans un soulèvement populaire historique, afin de recouvrer la dignité humaine et vaincre l’oppression et la ségrégation raciale, et qui a forgé une mémoire collective aussi intacte que vivace. Un idéal et un héritage communs unitaires, d’où l’Union Africaine, appelée à consolider cette communion salutaire et approfondir son émancipation et son intégration économique, culturelle dans une pérennité et une mue générationnelle.

De l’anticolonialisme de l’Afrique au colonialisme marocain d’exception.

Des figures emblématiques africaines, de Johnny Makatini et Oliver Tambo à Nelson Mandela, Amilcar Cabral qui disait qu’Alger est la Mecque des révolutionnaires, Sam Nujoma, Samora Machel, Houari Boumediene ou la révolution limpide, Agostino Neto, Jomo Kenyatta, Thomas Sankara, Marien N’Gouabi, ces noms et d’autres encore, les icones panafricanistes reconnues dans le monde entier et par l’histoire, de par leurs sacrifices, leurs valeurs humanistes, ont vaincu par la force de la résistance, toutes les formes de colonisation et d’oppression.

Pendant que ce continent, berceau de l’humanité et de son avenir, engendre des hommes libres et engagés pour l’émancipation de l’Afrique et s’y investissent, un pays se disant africain, le Maroc, un résidu de l’ère coloniale, tente d’inverser le cours inexorable de l’histoire pour nous ramener à la case de départ et ses pages sombres.

Pendant que les puissances coloniales auront abdiqué et tentent de se défaire honorablement d’un legs colonial et néocolonial intenable au 21ème siècle, pour sauver leur conscience devant le verdict de l’histoire, le Makhzen fait l’exception pour tenter d’accomplir le fait colonial au Sahara Occidental, dans le déni de l’histoire et du droit international.

En se prétendant africain, mais jamais oser d’être panafricain, le Makhzen tout en étant le dernier colonisateur de la dernière colonie d’Afrique, se heurte à une contradiction qui le décrédibilise malgré tous les subterfuges employés à cette fin mais en vain. Il refuse l’application du droit à l’autodétermination d’un peuple que lui reconnaissent la légalité et la justice internationales, les décisions et les résolutions de la communauté internationale.

Le moins qu’on puisse dire est que le Maroc dans son entêtement colonial, n’a pas de droit de cité dans l »Union africaine dont il trahit ses principes, son acte constitutif et ses valeurs.

Du panafricanisme aux velléités rétrogrades du Makhzen.

Le panafricanisme historique et contemporain réside dans la solidarité agissante envers les justes causes de l’Afrique d’hier et d’aujourd’hui. Quand la République Arabe Sahraouie Démocratique, membre à part entière de l’OUA et fondateur de l’Union Africaine, militait et réfléchissait dans le même esprit libérateur qui l’anime, au sein du Comité de Coordination pour la Décolonisation de l’Afrique (CCLA), pour prêter aide et assistance à l’ANC en Afrique du Sud, au Frelimo au Mozambique, au MPLA en Angola, à la Swapo en Namibie, au MPGAIC, en Guinée Bissau et au Cap vert, le Maroc à cette époque désertait l’Afrique et préférait s’allier avec l’entité sioniste et l’Apartheid en Afrique du Sud dans une honteuse collusion contre l’ANC et le combat de Mandela.

Aujourd’hui, nous assistons encore à une réédition de la même collusion contre le peuple palestinien, heureusement avec une Afrique du Sud libérée et une Algérie vigilante pour expurger de la scène africaine le sionisme que voulait honteusement introduire le Makhzen dans le cœur institutionnel du Continent.

Devant les manœuvres du Makhzen qui torpillent l’émancipation de l’Afrique, bien des chefs d’Etat de pays membres de l’Union Africaine regrettent d’avoir béni son adhésion à l’organisation continentale. Ils réalisent que sa présence n’est pas saine mais, plutôt, toxique.

En voulant expulser la RASD et en appuyant fortement pour une incursion de l’entité sioniste, contre les principes et l’Acte constitutif de l’Union Africaine, le Makhzen englué dans des scandales à n’en point finir, n’aura fait que transposer ses déboires d’ailleurs dans une Afrique devenue allergique à ses méthodes suspectes, voire, abjectes.

#Maroc #Françafrique #Afrique #UnionAfricaine #SaharaOccidental #RASD #France

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