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  • Sahara Occidental

Voici les raisons de l’échec du projet d’autonomie au Sahara Occidental

Admin 27 octobre 2025
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Le jour où le Conseil de sécurité des Nations Unies entamera l'examen du projet de résolution américain sur « l'autonomie du Sahara Occidental », cela fera 50 ans que le « Maroc l'a occupé le 31 octobre 1975, lors de ce qui est connu sous le nom de « Marche Verte », que les Sahraouis appellent la « Marche Noire ».

Tags : Sahara Occidental, Maroc, Front Polisario, ONU, Conseil de Sécurité, Algérie, Russie, Chine, Etats-Unis,

Après avoir examiné la question sous tous ses angles, on peut affirmer que le projet de résolution américaine sur l’autonomie au Sahara Occidental échouera, tant à court terme qu’à long terme. La raison en est qu’il n’a tenu compte ni des résolutions du Conseil de sécurité, ni de l’Assemblée générale des Nations Unies, ni de la Cour internationale de Justice, ni de la Cour de justice européenne, sans parler des luttes du peuple sahraoui. Il a au contraire été pris au motif que son pays est la première puissance militaire, annonçant l’instauration de la loi de la jungle et l’inutilité du droit international et même de l’ONU elle-même, comme ce fut le cas pour la Société des Nations auparavant.

1975-2025 : 50 ans d’occupation

Le jour où le Conseil de sécurité des Nations Unies entamera l’examen du projet de résolution américain sur « l’autonomie du Sahara Occidental », cela fera 50 ans que le « Maroc l’a occupé le 31 octobre 1975, lors de ce qui est connu sous le nom de « Marche Verte », que les Sahraouis appellent la « Marche Noire ».

Le projet de résolution présenté par Trump sur le Sahara Occidental stipule que « le plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007 est la base sérieuse, crédible et réaliste pour parvenir à une solution politique durable et mutuellement acceptable », et appelle les parties concernées à engager des négociations sans conditions préalables et immédiatement. Ces négociations devraient être accueillies par les États-Unis.

C’est là la nouveauté la plus importante dans la question du Sahara Occidental. Quant au contenu du projet de résolution concernant la prorogation du mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental (MINURSO) jusqu’au 31 janvier 2026, c’est une conséquence attendue, étant donné que cela est devenu une coutume annuelle des Nations Unies.

Le « projet de loi américain » s’appuie sur la puissance militaire américaine pour imposer des solutions aux crises mondiales, selon le bon vouloir américain, comme c’est le cas actuellement à Gaza, et comme Trump a tenté de le faire avec la Russie mais a échoué jusqu’à présent en se heurtant à une puissance militaire russe équivalente, et comme il l’a fait avec de nombreux pays comme le Pakistan, l’Inde, la Thaïlande et le Cambodge.

Facteurs d’échec du projet d’autonomie

La vérité est qu’il existe de nombreux facteurs qui devraient être parmi les principaux obstacles au succès du projet d’autonomie dans la version Trump, dont les plus importants sont les suivants :

1 – L’illusion de Trump : le Sahara Occidental, une terre sans peuple

Le « projet de résolution » américain pour l’autonomie considère le Sahara Occidental comme une terre sans peuple qu’il souhaite donner à un peuple qui a déjà une terre, ce qui signifie que le projet de résolution nie complètement l’existence d’un peuple appelé le « peuple sahraoui » qui vit sur sa terre et lutte pour elle depuis plus d’un demi-siècle. Comment interpréter, sinon, la tentative d’imposer « l’autonomie » comme seule option à un peuple qui vit sur sa terre et se bat pour elle ? À moins que le président américain Donald Trump ne pousse le Front Polisario à une escalade armée, ce qui lui servirait alors de prétexte pour lui réserver le même sort qu’à Gaza. Mais si cela doit arriver, le peuple sahraoui devra le faire.

L’Assemblée générale des Nations Unies a considéré le « Maroc comme une puissance occupante » dans plusieurs résolutions, notamment les résolutions 34/37 du 21 novembre 1979 et 35/19 du 11 novembre 1980, entre autres, ce qui signifie qu’il s’agit d’une « terre qui a ses habitants ».

De plus, le Conseil de sécurité, dans sa résolution 380 (1975) du 6 novembre 1975, a condamné l’occupation du Sahara Occidental par le Maroc et l’a appelé à « retirer immédiatement tous les participants à la Marche Verte » du Sahara Occidental. Cela signifie que le Conseil de sécurité considère le Sahara Occidental comme une terre occupée et ayant ses habitants depuis 1975. Cela implique que le projet de résolution américain ne peut pas passer facilement, et même s’il passe au Conseil de sécurité, il ne se réalisera pas concrètement avec la facilité et la rapidité souhaitées par Trump.

2 – La décision de Trump est un mépris pour le Conseil de sécurité et l’ONU

Par une telle décision, le président américain Donald Trump, à l’instar de certains membres permanents du Conseil de sécurité, comme la France et la Grande-Bretagne qui soutiennent l’autonomie, a méprisé le Conseil de sécurité et les Nations Unies. En effet, c’est l’ONU qui a inscrit le Sahara Occidental sur la liste des territoires non autonomes des Nations Unies depuis 1963, sur la base des informations que lui a transmises l’Espagne, en tant que pays occupant, concernant le Sahara Occidental.

De même, c’est le Conseil de sécurité qui a créé, il y a 34 ans, soit depuis 1991, sous son autorité, la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental (MINURSO), et n’a cessé de rappeler et de réaffirmer toutes ses résolutions concernant le Sahara Occidental.

Depuis 34 ans, le Conseil de sécurité a nommé huit envoyés spéciaux onusiens pour le Sahara Occidental, dont Johannes Manz, Sahibzada Yaqub Khan, Eric Jensen, James Baker, Peter van Walsum, Christopher Ross, Horst Köhler, et le dernier en date, Staffan de Mistura, depuis octobre 2021.

Il est donc déraisonnable de marginaliser les résolutions de l’Assemblée générale concernant le Sahara Occidental, qui est une question de décolonisation inscrite à l’ordre du jour de l’ONU depuis 1963, et de s’opposer aux résolutions précédentes du Conseil de sécurité en faveur des accords connus et cachés de Trump.

3 – La Cour internationale de Justice, référence du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale

En 1976, la Cour internationale de Justice a rendu son avis consultatif sur deux questions soumises par l’Assemblée générale des Nations Unies en vertu de la résolution 3292 concernant le territoire du Sahara Occidental. Les délibérations se sont poursuivies de décembre 1974 à octobre 1976. L’arrêt final de la Cour a déclaré que « les matériaux et informations qui lui ont été soumis ne démontrent aucun lien de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara Occidental et le Royaume du Maroc ou l’entité mauritanienne. Par conséquent, la Cour n’a trouvé aucun lien juridique de cette nature susceptible d’affecter l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale sur la décolonisation du Sahara Occidental, et en particulier, le principe de l’autodétermination par l’expression libre et authentique de la volonté des peuples du territoire. »

Bien que la décision du tribunal de La Haye soit consultative et non contraignante, l’Assemblée générale des Nations Unies et même le Conseil de sécurité s’y sont référés dans toutes leurs résolutions ultérieures. Trump réussira-t-il à déshonorer la Cour suprême en faveur d’accords politiques et économiques ?

4- La Cour de justice européenne et le Conseil de l’Union européenne resteront-ils silencieux ?

Le 31 janvier 2025, le Conseil de l’Union européenne a officiellement approuvé l’annulation des accords de commerce et de pêche entre l’Union européenne et le Maroc au Sahara Occidental, confirmant les jugements rendus par la Cour de justice européenne en octobre 2024, qui ont réaffirmé les principes fondamentaux du droit international, y compris le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’illégalité de tout accord affectant le territoire sans son consentement. La Cour a également statué que les produits provenant du Sahara Occidental devaient être étiquetés comme sahraouis et non marocains. Nous ne pensons pas que ces institutions européennes fermeront les yeux sur l’implication des pays européens dans la farce de l’autonomie, car la justice en Europe a une grande influence sur la décision politique.

5- Quelle est la position de l’Union africaine ?

La République arabe sahraouie démocratique (RASD) est un membre fondateur de l’Union africaine, ce qui signifie qu’elle est un État à part entière. L’Union africaine considère le Sahara Occidental comme une question de décolonisation et la dernière colonie en Afrique, et l’autodétermination est inscrite dans la loi constitutive de l’Union. Cependant, le retour du Maroc à l’Union africaine en 2017 a affecté relativement les positions de certains pays, mais pas celles de l’Union. Depuis sa création en 1963, sous la version de « l’Unité africaine », l’Union africaine soutient le droit des peuples à l’autodétermination, en particulier la question sahraouie. Va-t-elle complètement renoncer à l’option de l’autodétermination, qui est le principe par lequel la plupart des pays africains ont obtenu leur indépendance, surtout après les principes de Bandung en 1955, en particulier l’article 13, et surtout si la RASD, membre fondateur de l’Union, s’accroche à son droit légitime à un référendum ?

6- La Russie et la Chine sacrifieront-elles leurs principes et leur image dans le monde ?

La Russie et la Chine, en tant que membres permanents du Conseil de sécurité bénéficiant du droit de veto, seront probablement le principal défi face à la question de « l’autonomie comme seule option et l’engagement immédiat de négociations avec les États-Unis ».

Il est bien connu que Moscou et Pékin prennent toujours des décisions conformes au droit international dans les différentes crises actuelles, en particulier depuis l’effondrement de l’Union soviétique. Elles se sont opposées à la guerre en Irak en 2003 et à la guerre en Afghanistan en 2001, entre autres décisions.

Il y a aussi le facteur d’intérêt. Il est dans l’intérêt de la Russie que les États-Unis ne parviennent pas à sortir indemnes des crises qu’ils veulent résoudre rapidement et à la manière américaine, afin qu’ils ne puissent pas se consacrer au financement de l’Ukraine dans sa guerre avec la Russie, surtout après les récentes déclarations du président Trump concernant Poutine et l’annulation de la rencontre prévue entre les deux hommes en Hongrie.

Quant à la Chine, elle est bien consciente que « tous », nous insistons sur le mot « tous »… tous les arrangements pris actuellement par les États-Unis sont contre la Chine, qu’il s’agisse de « l’arrêt de la guerre à Gaza » afin de construire le couloir économique indien, comme expliqué dans l’article précédent, ou de la tentative d’imposer une « paix » entre l’Algérie et le Maroc pour encercler la Chine en Afrique du Nord et au Sahel, ou du renforcement des relations entre les États-Unis et les pays d’Asie du Sud-Est (ASEAN). Même l’intervention américaine pour mettre fin à la guerre entre le Pakistan et l’Inde était stratégiquement une décision contre la Chine, c’est-à-dire que pour préserver l’Inde de l’épuisement, l’Amérique en a besoin contre la Chine et non contre le Pakistan.

7- Les Sahraouis disposent de tous les outils légaux et moraux pour défendre leur droit

La décision de Trump ne signifie pas que « l’autonomie est une conséquence inévitable », sous l’influence de la puissance militaire des États-Unis. Sinon, il n’y aurait plus de place pour les pays et les peuples pour défendre leurs droits. Au contraire, le peuple sahraoui dispose de suffisamment de mécanismes légaux et moraux pour défendre son droit légitime à l’autodétermination.

C’est pourquoi le Front Polisario a annoncé le 21 octobre 2025 sa volonté de « partager la facture de la paix avec le Maroc » à travers une proposition élargie pour résoudre la question du Sahara Occidental, visant à « permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et à restaurer la paix et la stabilité dans la région ». C’est la deuxième proposition élargie que le Polisario a présentée à l’ONU après celle du 10 avril 2007, qui réaffirme le référendum d’« autodétermination ». Partager la facture « signifie ne pas accepter l’autonomie comme seule option ».

Le 22 octobre 2025, le président de la République arabe sahraouie a adressé une lettre au Secrétaire général des Nations Unies, insistant sur le référendum d’autodétermination après avoir enregistré toutes les violations marocaines du cessez-le-feu de 1991.

Le 24 octobre 2025, le Polisario a officiellement et catégoriquement annoncé qu’il ne participerait à aucune négociation pour résoudre le conflit au Sahara Occidental si les États-Unis parvenaient à faire adopter leur projet de résolution sur l’autonomie au Conseil de sécurité. Cette déclaration a été faite dans la lettre urgente adressée par le représentant du Front Polisario au Représentant permanent de la Russie auprès des Nations Unies, Vasily Nebenzia, en sa qualité de président du Conseil de sécurité.

Ce que nous avons expliqué précédemment concerne l’aspect politique. Quant à l’aspect moral, il pourrait revêtir une dimension plus importante que l’aspect politique, dans le sens où si le Front Polisario acceptait « l’autonomie », il aurait insulté les pays qui le reconnaissent depuis des années et n’ont pas renoncé à leur position malgré les pressions du Maroc et de ses alliés arabes et occidentaux. En effet, la République sahraouie était reconnue par 87 pays avant que ce nombre ne retombe actuellement à 63 pays. C’est aussi une insulte à l’Union africaine, qui la reconnaît et dont elle est un membre fondateur, sans compter que c’est une insulte au sang des martyrs sahraouis.

Par conséquent, en fin de compte, nous ne voyons aucune issue à la décision de Trump, et le sort du Sahara Occidental restera lié au référendum. Mais pourquoi le Maroc refuse-t-il le référendum ? C’est ce que nous expliquerons dans le prochain article.

Source : Alhirak alikhbari

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