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Avec chiffres et documents :
Plus de 10 hauts responsables des services de renseignement marocains ont vu leurs noms et fonctions révélés.
Parmi eux : le directeur du contre-espionnage, le directeur des ressources humaines et ami du roi, le responsable de Pegasus et des écoutes téléphoniques, ainsi que le directeur de l’Office national de lutte contre le terrorisme.
La fuite a touché des cartes d’identité nationales, des comptes bancaires secrets et des données professionnelles sensibles.
Un appareil présenté pendant des décennies comme « la sécurité la plus puissante du Royaume » est devenu aujourd’hui le maillon le plus faible, après avoir été dynamité d’une simple pression sur un bouton par une chaîne Telegram appelée « Jabroute ».
Comment un service censé protéger le Maroc du terrorisme et de l’espionnage a-t-il pu être infiltré avec une telle facilité ?
Et quelle confiance restera-t-il aux partenaires internationaux tels que les États-Unis, l’Espagne ou la France, après la fuite de données concernant des responsables liés aux dossiers du terrorisme et du trafic de drogue ?
Résultat : le Maroc à découvert… des renseignements sans secrets, sans prestige.
Il ne s’agit pas d’un simple faux pas passager, mais d’une tache indélébile qui hantera le régime pendant des décennies.
Les détails complets du scandale qui a transformé le pays en risée mondiale, et fait du « pouvoir sécuritaire suprême » un simple slogan creux :
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