Le Maroc corrompe des ONG africaines pour s’attaquer à l’Algérie et au Polisario

Au même titre que les fonctionnaires de l’ONU, le Maroc a également corrompu des ONG africaines des droits de l’Homme, au nombre de six (06), dans le seul but de les utiliser comme arme de propagande contre l’Algérie et le Polisario.

Parmi ces ONG africaines on peut citer:

– L’Action Internationale pour la Paix et le développement dans la Région des Grands Lacs (AIPD-GL);
– Le Comité International pour le Respet et l’Application de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CIRAC)
– L’Organisation pour la Communication en Afrique et de Promotion de la Coopération Economique Internationale (OCAPROCE International).
Ces ONG africaines sont le plus souvent utilisées par le Maroc à l’occasion des sessions annuelles du Conseil des Droits de l’Homme et du Haut Commissaire pour les Réfugiés, pour organiser des événements parallèles et intervenir devant le Conseil, ou pour envoyer des lettres au Secrétaire Général des Nations Unies et responsables onusiens, en charge des questions de droits de l’homme et ce, afin de donner dénigrer l’Algérie et le Front Polisario.

La stratégie marocaine obéït à un plan d’action globale concocté et financé par le Ministére des affaires Etrangéres et de la Coopération et distribué notamment à ses Missions permanentes de Genève et New York, pour exécution.

Ceci est confirmé par les notes de la Mission permanente du Maroc à Genève, dirigé à l’époque par Omar Hilale dont il ressort que le Conseiller diplomatique de cette mission, en charge des relations avec ces ONG africaine, tenait réguliérement des réunions de préparation avec les responsables desdites ONG, au cours desquelles il les instruisait sur les actions à mener contre l’Algérie et le Polisario. Au terme de leur mission, il les a gratifié en leur remettant des sommes d’argent.

Toutefois, la Mission permanente du Maroc, en raison de la crise financiére que traverse le Maroc, avait du mal à honorer ses obligations financières envers ces ONG aficaines, raison pour laquelle la majorité de ces ONG africaines ont refusé de poursuivre leur collaboration avec le Maroc.

Source : Calameo