Tags: Maroc, dynastie alaouite, Sultan Abdelhafid, Youssef, Mohammed V، Hassan II, Mohammed VI, confesdion juive,
Pourquoi la famille royale marocaine hait-elle l’Algérie?
Par Hassen Kacimi
Pour comprendre pourquoi il existe tant de haine de la Famille Royale de Marrakech envers l’Algérie, il faut revisiter l’histoire de cette famille, connue pour être des usurpateurs, des faux et des traîtres.
Le vrai nom de ce pays est Marrakech et Fès, puis ce nom a été changé par les Français pour l’appeler Maroc, dans une perspective coloniale visant à annexer tous les territoires voisins, y compris le Rif.
Le sultan Abdelhafid de Marrakech signe en 1912. Le traité place Marrakech sous protection française.
Abdelhafid fut accusé par les Français après une forte opposition des populations de Fès et de Marrakech, qui l’accusèrent d’avoir vendu son pays aux Français.
Les Français, estimant que le sultan Abdelhafid avait perdu toute légitimité, l’écartèrent pour le remplacer par son frère Youssef, considéré par eux comme une page blanche sur laquelle ils pourraient écrire toutes les falsifications.
C’est dans ces conditions qu’Abdelhafid fut écarté par les Français afin d’installer son frère Youssef comme sultan de Marrakech.
Abdelhafid mourut en exil en France, et sur son certificat de décès il est bien mentionné qu’il est de confession juive.
Son certificat de décès peut être consulté, car il a été publié à la suite de fuites dans les archives secrètes de France.
Le frère d’Abdelhafid, Youssef, est le père de Mohammed V.
Ainsi, vous avez toute la lignée de la famille royale : le sultan Abdelhafid, Youssef, Mohammed V, Hassan II et Mohammed VI, tous juifs.
Pour compenser le passé d’une famille juive qui a pris le contrôle des sultanats de Marrakech et de Fès, cette famille usurpatrice a inventé un lignage chérifien afin de se faire passer pour des descendants du Prophète Mohammed.
La famille royale de Marrakech, dont l’appartenance au lobby sioniste n’est plus à démontrer, a fait de l’Algérie le bouc émissaire idéal afin de détourner l’attention, de mobiliser la population autour d’un ennemi fictif, pour se maintenir au pouvoir et conserver un trône qui vacille, se fissure et risque de s’effondrer à tout moment.