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Selon elle, Macron verrouille le système, empêchant tout débat sur une Europe des nations souveraines.
The Guardian — Le mépris des peuples
The Guardian rapporte que Meloni fustige une élite européenne qui ignore systématiquement les électeurs, redistribuant les postes et les responsabilités dans un entre-soi permanent, pour maintenir leurs réseaux et leur pouvoir.
Le Monde et Reuters — L’isolement organisé de l’Italie
Selon Le Monde et Reuters, Meloni a été isolée politiquement après avoir refusé de soutenir certains choix de Macron et de von der Leyen. Résultat : l’Italie a été marginalisée dans toutes les discussions clés, preuve que la pluralité d’opinion n’existe pas dans cette Union « démocratique ».
Macron, l’ombre derrière Bruxelles
Au-delà des nominations, Macron impose ses priorités à la Commission européenne, dirigée par Ursula von der Leyen, qui applique docilement les lignes dictées par Paris. Des dossiers comme les réglementations industrielles ou les accords énergétiques ont été orientés pour favoriser des groupes proches du pouvoir français, pendant que les peuples subissent l’inflation et les hausses fiscales.
Le soupçon de copinage : Les arrangements sont tels que certains observateurs parlent d’une “capture de Bruxelles” par Macron. Officiellement, tout est légal. Officieusement, des contrats publics bénéficient toujours aux mêmes acteurs économiques — souvent les mieux connectés politiquement.
L’opacité comme norme : Le scandale des SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, toujours tenus secrets malgré les demandes de transparence, a renforcé le sentiment que les décisions majeures se prennent dans l’ombre, sans contrôle citoyen.
Une Europe qui s’efface sur la scène internationale
Pour Meloni, cette dérive autoritaire a un prix :
- Une Europe effacée sur la scène mondiale.
- Des institutions qui se replient sur elles-mêmes au lieu de défendre les intérêts des nations.
- Une fracture grandissante entre les élites bruxelloises et les peuples, qui ne se sentent ni représentés, ni écoutés.
Conclusion
Le cri d’alarme de Meloni révèle une vérité dérangeante : l’UE n’est plus une union démocratique, mais un système verrouillé par des technocrates, où Macron joue les marionnettistes. Plus cette machine tourne sans contrôle, plus il sera difficile de rétablir la souveraineté et la voix des peuples européens.
Source: X.com
Josy Cesarini