L’Algérie avance, tout simplement. Elle collabore avec les États-Unis, la Chine, l’Espagne, l’Italie, la Turquie, et la liste est longue. Tous ces pays comprennent le langage du pragmatisme et des intérêts partagés. Tous, sauf… la France, évidemment. Seule au monde, enfermée dans sa nostalgie coloniale, vexée que l’Algérie ne demande plus la permission.
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Et voilà, ça recommence. Encore une fois, ce cirque médiatique français, cette petite cour de journalistes déconnectés, reflète parfaitement l’état mental de la France actuelle : une crise de nerfs permanente. Pourquoi ? Parce que le président d’un pays souverain, l’Algérie, s’est rendu dans un autre pays souverain, l’Italie. Et là, la France perd complètement les pédales.
Reparlons des faits. L’Algérie et l’Italie ont signé pour plus de trois milliards de dollars de contrats, notamment dans le gaz naturel. Une coopération concrète, stratégique, équilibrée. L’Algérie devient le premier partenaire de l’Italie, avec 14 milliards de dollars d’échanges, un câble énergétique direct est en place, et Rome devient la plateforme du gaz algérien vers l’Europe. Pendant ce temps-là, Paris fait des grimaces et compte les miettes.
L’Algérie avance, tout simplement. Elle collabore avec les États-Unis, la Chine, l’Espagne, l’Italie, la Turquie, et la liste est longue. Tous ces pays comprennent le langage du pragmatisme et des intérêts partagés. Tous, sauf… la France, évidemment. Seule au monde, enfermée dans sa nostalgie coloniale, vexée que l’Algérie ne demande plus la permission.
Et pendant que le monde signe des contrats, vous, en France, vous vous agitez… pour Boualem Sansal. Sérieusement ? Vous pensez vraiment que l’Italie ou l’Espagne vont “s’unir pour libérer Sansal” ? Ils s’en fichent royalement. Ce qu’ils veulent, c’est du gaz, du commerce, des investissements. Pas vos clowns médiatiques.
Et puis, cette manie ridicule de croire que vous avez encore des “leviers” contre l’Algérie… Levers de quoi ? Vous croyez faire peur à qui exactement ? La vérité, c’est que vous n’en avez aucun. L’Algérie paie cash, elle n’a pas besoin de mendier ni de supplier personne. Elle choisit ses partenaires, pendant que vous perdez les vôtres.
Vos entreprises quittent Alger les unes après les autres. Ce n’est pas nous qui avons perdu des milliards en contrats, c’est vous. Ce n’est pas nous qui sommes en faillite. C’est votre économie qui coule pendant que vous continuez à chanter “liberté d’expression” et à soutenir le Maroc dans l’occupation du Sahara Occidental. Quelle hypocrisie.
Mais bon, continuez à croire que vous allez “punir” l’Algérie. En bloquant quoi ? Les sacs diplomatiques ? On fera pareil, ne vous inquiétez pas. Vous avez envie de jouer ? On sait jouer.
L’Algérie vous a toujours emmerdés. Elle vous emmerde. Et elle vous emmerdera toujours.
C’est comme ça. Allez, continuez à pleurnicher. Ça vous va bien.
Belhadj Djamel Eddine
Source : Facebook
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