Ta mère, cette femme digne et honorable, est peut-être morte le cœur brisé de voir ce que tu es devenu. Ton père, ce gendarme respecté qui a servi l’Algérie après l’indépendance, doit se retourner dans sa tombe aujourd’hui. Lui a défendu sa patrie. Toi, tu l’as vendue pour une chronique dans un journal français.
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Témoignage bouleversant de la sœur de Kamel Daoud :
« À cause de toi, notre famille est insultée de tous les noms. »
Pleure autant que tu veux, Kamel. Pleure ta mère, pleure ton prétendu exil, pleure ta mise en scène médiatique soigneusement orchestrée. Mais à ceux qui doutent encore de ta véritable nature, qu’ils écoutent ta sœur, Wassila. Ta sœur de sang a eu le courage de se désavouer publiquement de toi. Elle l’a dit clairement : tu as sali ton nom, celui de ta famille, celui de ta mère. Et elle n’a pas menti.
Ta mère, cette femme digne et honorable, est peut-être morte le cœur brisé de voir ce que tu es devenu. Ton père, ce gendarme respecté qui a servi l’Algérie après l’indépendance, doit se retourner dans sa tombe aujourd’hui. Lui a défendu sa patrie. Toi, tu l’as vendue pour une chronique dans un journal français.
Kamel Daoud, tu resteras dans les mémoires ainsi : harkis. Voilà ton seul héritage. Un homme qui a trahi son peuple pour les applaudissements de l’Occident. Et si tu ne comprends pas bien ce mot, demande aux vrais harkis. Plus de soixante ans après leur fuite avec leurs maîtres, regarde comment la France les a traités.
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