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Algérie: Tebboune, sur les pas du regretté Houari Boumediène

Algérie: Tebboune, sur les pas du regretté Houari Boumediène – Afrique, Union Africaine, Maroc, Israël,

Une lecture différente de celle que nombreux ont l’habitude de pratiquer.
L’Algérie est devenue un « pays continental » grâce à ses revendications, ses déclarations puissantes et ses accords majeurs. L’esprit politique de Houari Boumediene, qui régnait autrefois sur les sept continents est de retour. Aujourd’hui le président Tebboune a rempli les conditions de ce statut. Alors que le monde regardait avec surprise. Indépendamment de tous les efforts pour l’empêcher, indépendamment de tous les maux et menaces, Tebboune reconstruit ce pays, sécurisant son âge d’or et laissant sa marque dans le monde.
Une nouvelle pièce rejoint le grand puzzle, la confrontation historique, le retour, la montée de la magnificence et du pouvoir, afin de relever ce défi, un plan fermement établi par Tebboune dont il nous a fourni la justification, protégé par la Constitution et la loi est prévu en conséquence pour les années 2022-2024.

Le pays des grandes revendications a une fois de plus déclaré au monde qu’il ferait tout ce qu’il voudra. Nous devons affronter la réalité et je crois que c’est ce que nous faisons. Ainsi, la future carte de l’Algérie a pris une nouvelle dimension, faisant peser sur le pays et sur la région d’une menace susceptible de persister dans la mesure où sont impliqués des groupes terroristes engagés dans une action à long terme qui ont recours aux nouvelles technologies de l’information et de la communication et qui utilisent des moyens sophistiqués.
Egalement un autre plan géopolitique requérant une autre tactique efficace a été conclu, influençant l’avenir des pays et des nations.

Président Tebboune : « Les petites choses comptent pour moi, parce que le simple citoyen compte pour moi. Cela est venu dans un discours qu’il a prononcé lors de l’ouverture du colloque national sur la relance économique, dans lequel il a présenté des exemples frappants de jeunes dont les projets d’investissement ont été interrompus ou gelés en raison de pratiques bureaucratiques ou des craintes de certains responsables.

L’Algérie compte beaucoup sur l’apport de l’industrie dans la relance et la diversification de son économie. Mais les efforts consentis font face sur le terrain à des entraves intentionnelles qui obéissent à des calculs politiciens. C’est le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui l’a laissé entendre ce samedi 4 décembre à l’ouverture de la conférence nationale de la relance de l’industrie, qui se poursuivra jusqu’à lundi.

L’industrie ne contribue actuellement au PIB qu’à hauteur de 5 ou 6% et l’objectif est de porter ce taux à 10% minimum, voire à 15%, selon le chef de l’Etat.

Tebboune hausse le ton : « Le blocage de l’économie est un crime »
L’Algérie compte beaucoup sur l’apport de l’industrie dans la relance et la diversification de son économie. Mais les efforts consentis font face sur le terrain à des entraves intentionnelles qui obéissent à des calculs politiciens.
C’est le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui l’a laissé entendre ce samedi 4 décembre à l’ouverture de la conférence nationale de la relance de l’industrie, qui se poursuivra jusqu’à lundi. L’industrie ne contribue actuellement au PIB qu’à hauteur de 5 ou 6% et l’objectif est de porter ce taux à 10% minimum, voire à 15%, selon le chef de l’Etat.

Le renouvellement institutionnel parachevé, place à l’économie. « En 2022, il n’y aura que de l’économie et là, on verra qui marche avec nous et qui met les bâtons dans les roues », a déclaré Tebboune devant une assistance composées de hauts responsables de l’Etat, d’industriels, de responsables locaux de l’industrie, de walis et d’experts.
Revenant sur les étapes traversées par l’industrie algérienne, le président de la République a rappelé d’abord l’époque de « l’’industrialisation à outrance », notamment les industries lourdes (sidérurgie, textile, pétrochimie..). « Il n’en reste pas grand-chose à cause de plusieurs crises financières, politiques et sécuritaires », déplore-t-il.

« Après le retour de l’opulence, est venue la période de la fausse industrie, appelée de manière caricaturale le gonflage de pneus, la fuite des capitaux vers l’étranger sous des dénominations différentes, et le montage au lieu de la fabrication », regrette-t-il encore.
Néanmoins, la situation actuelle « n’est pas une fatalité » et elle peut être redressée.

« Maintenant que la justice s’est prononcée, nous nous attelons à construire une industrie nationale véritable sur des bases rationnelles, une industrie qui sert l’intérêt national et qui sera un affluent du développement national global et durable », indique Abdelmadjid Tebboune, qui se dit convaincu que l’Algérie peut relever ce défi.
Abdelmadjid Tebboune cite alors certaines actions concrètes qui devront être entreprises dans ce sens. L’urgence selon lui est de « lever les entraves » pour les usines existantes et surtout celles en cours de réalisation.

Investissements : au moins 90 milliards de dollars dans les tiroirs de l’administration
Les chiffres qu’il révèle donnent une idée de l’étendue du préjudice causé à l’industrie algérienne par les seules lourdeurs et tracasseries administratives. Il affirme avoir instruit le gouvernement de débloquer, avant la fin du mois en cours, 402 projets, tandis que 57 l’ont été dans un court laps de temps. Au niveau de l’ANDI, 581 dossiers étaient en attente, au 30 novembre dernier, de bénéficier des avantages prévus, dont 356 dossiers devraient être débloqués durant cette première semaine de décembre.

Vous êtes les seuls perdants à ce jeu. Met-il en garde!
En novembre, le Premier ministre avait indiqué que les projets qui attendent l’aval du Conseil national de l’investissement (CNI) sont au nombre de 2500. Le montant total de ces investissements est d’au moins 90 milliards de dollars, sachant que seuls les projets de plus de 5 milliards de dinars nécessitent l’aval du CNI qui, pour rappel, ne s’est pas réuni depuis deux ans.

« Selon le rapport du ministre de l’Industrie, il y a des usines presque prêtes susceptibles de créer 75 000 emplois. Quel pays développé peut créer 75 000 emplois dans un laps de temps aussi court ? Cela veut dire qu’on ne veut pas employer les gens, on veut les laisser dans la forêt. Faites attention (trois fois). Certains diront que le président s’occupe des détails. Oui, les détails m’intéressent, parce que ce qui me préoccupe c’est le simple citoyen », s’emporte le chef de l’Etat, qui qualifie ce qui se passe d’ « inacceptable », de « crime contre l’économie nationale » et de « signe de grande d’échéance ».

« Parfois tout est prêt, sauf celui qui donne l’autorisation pour le début de la production. Des milliards de dollars ont été dépensés pour des usines pour qu’à la fin, un bureaucrate vient te dire comprend-toi, paye ! Tout marche avec la corruption », dénonce-t-il. « Si vous acceptez la corruption, c’est que vous n’avez rien compris. Vous n’avez pas compris que l’Algérie a changé », ajoute-t-il.

Pour lui, il ne s’agit pas pour les auteurs de ces blocages d’asseoir l’autorité de l’Etat, mais « c’est une entrave claire à la relance économique pour créer le maximum de problèmes et faire sortir les gens dans la rue » avec donc « des arrières pensées politiciennes ». « Vous êtes perdants à ce jeu », met-il en garde.
A l’adresse des fonctionnaires qui refusent de signer les autorisations par peur des poursuites judiciaires, Abdelmadjid Tebboune a réitéré les assurances qu’il a données à plusieurs reprises. « Ce sont ceux qui ont volé qui vont à El Harrach. Celui qui n’a pas volé, personne ne le touchera et nous sommes là pour protéger les cadres », assure-t-il.

La rencontre du président Tebboune avec de hauts responsables de l’Etat, d’industriels, de responsables locaux de l’industrie, de walis et d’experts.et l’annonce des premiers investissements en Algérie ont été parmi les événements les plus discutés au monde et ont eu un large écho.
Cette campagne abusive ne vous est d’aucune utilité lança-t-il à ceux qui cherchaient à exploiter la misère à des fins politiques.

Premièrement : Avant de poser des questions sur la nature entreprise par le président dans le colloque national, permettez-moi de transmettre ici quelques notes, sur la violente campagne lancée contre l’Etat par les comptes de l’Organisation terroriste de Rachad et des Makistes inféodés de l’alliance Maroco-sioniste, sur les réseaux sociaux, et qui a duré des mois durant, et systématiquement a ciblé la personne du président Tebboune, auquel est venue s’ajouter un troisième larron qui est venu confirmer sa présence dans le jeu qui empoigne un porte-voix et couronner la querelle entre algérien. Reprise par des agences de presse françaises bien connues.

Je ne prends généralement pas ces campagnes au sérieux, d’autant plus qu’elles ne contiennent aucune critique, suggestion, idée, information ou avantage sérieux. Au contraire, ce ne sont que de simples insultes et injures. Étant donné que le président Tebboune, est une personne qui a subi par le passé de nombreuses campagnes beaucoup plus dangereuses, on connaît tous très bien la nature de cette campagne, qui fait partie d’une longue série d’exactions qui n’ont donné lieu ni à enquête ni à sanction pendant des années.

Ce Triade en question, prétendent tous être les seuls véritables opposants. Ils sont en réalité ce que nous appellerions des op-posants : Ils prennent la pose, oui, ils posent dans le rôle de l’adversaire politique alors qu’ils sont en vérité les clones de la NED. D’autres portent le fanion du [Programme EBTICAR-MEDIA] Un calendrier stratégique accordé par Canal France International (CFI) et l’Union européenne pour le développement des médias en ligne dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Ses membres pour ne pas éveiller les soupçons des honnêtes gens qui craignent pour leur patrie. Et de déjouer la surveillance des organismes d’application de la loi. Ils sont invités à explorer d’arrière-scène et en agissant en douce pour saboter la démocratie en algérie.

C’est une technique désormais bien connue des gens qui perçoivent de l’argent et se présentent comme des chevaliers blancs, mais qui, en réalité, sont loin de donner l’exemple? Juste pour la compréhension des jeux et enjeux qui se cachent derrière les postures nihilistes des puissances étrangères vis-à-vis de l’Algérie et par ricochet le président Tebboune la personne qui subit un préjudice, moral ou matériel, en conséquence des dommages causés par le biais de pantins locaux. Des puissances et des groupes de pression qui prêchent aux autres ce qu’elles ne font pas chez elles.

Il est frappant que ces gens parlent, discutent, jacassent, bavassent, pérorent, pondent des vidéos, donnent des interviews, mais n’aient jamais pensés inviter leurs révélateurs se défendre concrètement contre ce qu’ils jugent allégué faussement à leurs égards.
En réalité, et cela est frappant, leur discours est un étalage d’impuissance et de résignation, mais absolument pas un appel à se forger une opinion politique. C’est de la pleurnicherie.

On est dès lors en droit de se demander si cette pleurnicherie, censée condamner le président Tebboune et exprimer le ras-le-bol des algériens, ne viserait pas en réalité à conforter le citoyen lambda dans une attitude de soumission : au lieu de lui offrir une image de combativité intellectuelle, on lui renvoie l’image de la résignation et de l’impuissance. Le citoyen manipulé sera bien évidemment amené à s’y conformer, à l’imiter.
Ainsi, les chialeries de la caste étasunienne pourraient bien dissimuler, non seulement une impuissance rédhibitoire, mais aussi une coupable duplicité.

Tebboune aime parler dans les moments difficiles.
Deuxièment : Tebboune est un président élu démocratiquement au suffrage universel certes, mais également un haut fonctionnaire de l’Etat et responsable politique, pas un détraqué youtubeur condamné par la justice de son pays pour intelligence avec l’ennemi. Il a travaillé dans plusieurs institutions étatique il a prouvé qu’il sait absolument de quoi il parle. Pendant plus de cinq (5) décennies, il a consacré sa vie à servir sans relâche son pays et son peuple et à consolider la paix et la sécurité dans son pays. De plus, il continue à mener une lutte sans relâche contre le terrorisme en inscrivant l’action de l’Algérie dans le cadre des instruments juridiques internationaux pertinents, tout comme elle a mis en place un dispositif législatif et réglementaire approprié dont ont fait état les précédents rapports qu’elle a présentés en application des résolutions du Conseil de sécurité y afférentes.

Par conséquent, si un président sait s’exprimer dans les moments difficiles, il prendra sans aucun doute en compte ce type d’attaques, de campagnes et de menaces
Troisièmement : l’État n’est pas un individu, mais plutôt un système intégré. C’est l’esprit et la sagesse que les hommes devraient analyser et comprendre au fil des siècles, des ères et des temps. L’Etat est la patience, les calculs à long terme et la capacité de gérer des relations et des menaces complexes.
Un pays comme l’Algérie a l’esprit des empires au cours des deux derniers siècles, a laissé des séquelles incontestables, dont l’esprit politique qui a su façonner l’histoire du 1° Novembre 1954 et construire la géographie, ne peut agir en fonction des individus ou des situations politiques quotidiennes.

Tebboune : lit le monde les pieds fixés sur le sol Algérien
Il est inimaginable qu’un État prenne position selon un débat local bon marché, à l’heure où l’esprit qui a porté la république vers sa période ascendante se réactive, surtout après la période de la décennie 1990.
Pour les observateurs, sa place, son attitude, son parti pris et sa profession en qualité de président de la république devient le pivot stratégique de l’Algérie au cœur de multiples réseaux étatiques engagés dans toutes les directions en vue d’apporter la dernière main au projet de stratégie du 21°siècle. Il regarde son pays, le monde, le passé et l’avenir de cette façon. Il lit le monde les pieds fixés sur le sol Algérien. Cette situation ne peut pas être changée quelles que soient les tempêtes qui soufflent. En tant que disciple du regretté Houari Boumediene, on ne peut pas lui en vouloir de le faire de cette façon. En fonction des intérêts nationaux suprêmes de l’Etat-Nation algérien. Ce n’est pas de l’impertinence , c’est une vision, une représentation du futur. C’est un plan. Le moment venu, tous les plans nécessaires pour les réaliser seront mis en œuvre.

Tebboune n’a jamais été quelqu’un qui a eu peur des menaces, des insultes et de l’intimidation
Ce n’est pas quelqu’un qui pourrait un jour prendre position sur la base des menaces ou des insultes et des injures de certaines personnes. Il n’a jamais été un homme qui pourrait être intimidé par des pressions ou des poursuites judiciaires systémiques, jamais contrôlé par la peur de l’avenir.
Il le dit clairement, Si les mêmes choses se produisent demain, je continuerai de m’y opposer avec la même clarté. Il croit que l’Algérie est au bon endroit après des décennies de pertes économiques sèches, et que cette position honorifique portera notre pays vers un grand avenir, et il croit aussi que ce sera une initiative grandissante qui pourrait donner vie à la patrie, de s’unir et de faire front commun contre ceux qui perpétuent la haine.

C’est l’axe sur lequel nous nous attelons constamment et je pense qu’on en a là une illustration. C’est la source de nos critiques et de nos éloges. C’est pourquoi ceux qui se nourrissent des tutelles (France-Etats-Unis) prennent position contre Tebboune et conséquemment contre l’Algérie. C’est la raison pour laquelle également nous poursuivons nos efforts résolument sans souci. Nous abordons cette question avec ce que nous avons hérité de la mémoire des nos anciens combattants qui se sont battus et qui ont fait le sacrifice de leur vie pour que vive la patrie. (1)

Nous ne suivons pas le chemin de ceux qui attaquent notre pays de l’intérieur
On est loin des ambitions et des calculs politiques. On est loin des dirigeants politiques qui n’hésitent pas à s’entendre avec les organisations terroristes pour accéder au pouvoir. Nous sommes loin de tous ceux qui promeuvent des attaques politiques et économiques de l’intérieur, et les utilisent comme armes contre leurs pays.
Nous ne serons jamais proches d’eux. Nous ne suivrons jamais la voie de ceux qui sont chargés de mener à bien le plan de « siéger l’Algérie de l’intérieur », alors que le président Tebboune est aux prises aussi bien, à l’égard des menaces et des défis sans précédent à l’endroit du pays qu’avec du colonialisme et de l’impérialisme occidental.
On peut maintenant se demander quelle est la contre-attaque, car si on a recours à la même stratégie, on risque une bataille, un duel, voire un procès pour diffamation.

Ce n’est pas seulement la responsabilité de Tebboune ou de l’État, mais aussi celle de chaque intellectuel et instruit algérien
Nous recherchons aujourd’hui des voies, des moyens, des opportunités pour nous accrocher à cette émanation vitale. Élever l’Algérie, la maintenir debout, garantir notre bien commun, nos opportunités communes et notre avenir commun dans un contexte de respect mutuel, notre union n’est pas le problème des politiciens ou du gouvernement uniquement.

La protection de l’Algérie ne se limite pas aux seuls efforts de l’armée et de la police, ni encore moins de ceux qui travaillent dur dans les centres de recherche et de développement pour produire quelque chose de «nouveau»
Limiter toutes les attentes à l’Etat tout seul, rester en dehors de cette mobilisation, ne pas apporter de contribution, ne pas consacrer des moyens en ressources humaines et matériel pour le pays, briserait la solidarité sociale et la résistance nationale. Tout pays qui en fera l’expérience encourra de lourdes responsabilités. Bâtir une économie capable d’innover et de concurrencer le reste du monde, en cette ère de changements sans précédent, requiert un effort national et la mobilisation de tous les organismes des secteurs public et privé.

L’obscurcissement et la désinformation échoueront inévitablement.
Une dernière note : l’Algérie surmontera les attaques économiques et en sortira victorieuse. D’ici à 2022, nous verrons comment le pays a surmonté toutes sortes d’attaques de l’intérieur. L’obscurcissement et la désinformation échoueront inévitablement. Les fronts tomberont les uns après les autres. Pour tous ceux qui savent lire.
On lui en veut parce qu’il a réussi ! On lui en veut parce qu’il a mis à nu les faux démocrates qui veulent gouverner sur les dos des victimes et personnes innocentes! On ne l’aime pas parce qu’il a libéré son pays des injonctions occidentales et orientales ! Ô combien vous êtes grand Monsieur Tebboune, tout un chacun vous estime pour votre franchise, votre humilité et votre attachement à l’Algérie et à la terre. Je ne sais pas pourquoi ces haineux se comportent-ils de la sorte envers vous bien que vous soyez de leur côté ? Pleurnichez ! Pleurnichez parce que ce monsieur s’était allié au côté du peuple algérien et contre les forces occultes et corrompus sur tous les fronts ………..Tebboune serait-il, sur les pas du regretté Houari Boumediene?

(1) J’ai conscience que certains vont essayer de me caser quelque part, pro ceci, anti cela. C’est une manière de concevoir utilisée, généralement, par ceux qui n’ont aucun ou peu d’éléments pour avoir un jugement, ou par ceux qui n’ont aucun argument à opposer à ceux auxquels ils s’en prennent. Je ne peux rien contre ces classements générés par un mode de pensée qui, je le crains, est incompatible avec les principes de mes différentes contributions. Il faudra donc faire avec.

Par Tarek Benaldjia

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