Irak arrête des suspects responsables de la fuite de données sur Suleimani aux États-Unis

La sécurité irakienne arrête des suspects responsables de la fuite de données sur Souleimani aux États-Unis

Qassem Suleimani, commandant de la Force Quds d’Iran, est tombé martyr tôt vendredi dernier, avec le sous-commandant des Unités de mobilisation populaire d’Irak (Al-Hashad Al-Shabi, en arabe), Abu Mahdi al-Muhandis et d’autres des combattants lors d’un assaut mené sur ordre direct du président américain Donald Trump, près de l’aéroport international de Bagdad.

Les forces de sécurité irakiennes ont arrêté trois employés de l’aéroport de Bagdad pour leur coopération présumée avec les États-Unis dans l’assassinat du général iranien Qassem Suleimani.

HispanTV a rapporté que selon des sources proches du groupe enquêtant sur l’attaque, ces trois suspects avaient divulgué des informations détaillées sur les mouvements de Suleimani vers Washington, qui a volé le jour de l’attaque de Bagdad, la capitale irakienne, après un voyage à Damas, en Syrie.

Suleimani, commandant de la Force Qods iranienne, est tombé martyr tôt vendredi dernier, avec le sous-commandant des Unités de mobilisation populaire d’Irak (Al-Hashad Al-Shabi, en arabe), Abu Mahdi al-Muhandis et d’autres combattants dans une agression menée par ordre direct du président américain, Donald Trump, près de l’aéroport international de Bagdad.

Les données fournies par les employés étaient essentielles pour les États-Unis. a consommé son opération aérienne contre le haut commandement iranien et ses compagnons dans la capitale irakienne.

L’enquête se concentre principalement sur les interrogatoires du personnel de l’aéroport et les hypothèses impliquées dans le bombardement meurtrier américain.

À leur tour, les autorités syriennes ont lancé une enquête parallèle à l’aéroport international de Damas pour recueillir davantage d’indices.

Le Premier ministre intérimaire irakien, Adel Abdul-Mahdi, a déclaré qu’il s’attendait à rencontrer Suleimani le jour de son assassinat.

En réponse à ce crime, le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) d’Iran a mené mercredi de fortes attaques de missiles contre des bases américaines en Irak, dans lesquelles le chef de file, l’ayatollah Sayyed Ali Jamenei, a décrit comme un simple « gifle « et non de vengeance.

Selon des sources locales, les défenses antimissiles américaines n’ont pas réussi à intercepter un missile iranien tiré sur ses bases en territoire irakien et bien que la partie perse affirme qu’au moins 80 militaires américains sont morts, Trump a déclaré dans un message à la nation que il y avait des dommages entre les soldes.

Après l’opération éclair de l’Iran, le président américain Il a retiré toutes ses menaces militaires précédentes contre le pays perse, bien qu’il ait affirmé qu’il n’y avait pas eu de morts dans l’offensive iranienne contre deux bases américaines.

Al Mayadeen, 11 jan 2020

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