En plus des terroristes marocains dont les attentats ont ravagé la France et l’Europe entière, la société française doit supporter un autre genre de franco-marocains sur lesquels le président français fait l’effet d’un étron. Il les attire comme les selles attirent les mouches.
Après le feuilleton de Benalla, les français ont eu droit à la nommination de Yassine Belattar membre du Conseil présidentiel des villes. Macron souhaite profiter des conseils d’un homme poursuivi par la justice française.
Belattar n’a pas défoncé la tête d’un militant socialiste à coup de casques comme c’est le cas de M’jid El Guerrab, mais il est poursuivi par la justice pour d’autres méfaits. Décidément, les affinités du Chef de l’État de la France sont pour le moins révélatrices. On dirait un chef de gang marocain.
Le 28 mars 2019, Belattar a été mis en examen par la justice pour « menaces de mort », « menaces de crimes réitérés », « envois réitérés de messages malveillants » et « harcèlement moral ».
Il a beau prétendre que c’était des rumeurs, des ragouts, mais la vérité est là et en raison de cette vérité il a dû passer 48 heureus en garde à vue à cause d’une plainte déposée Bruno Gaccio, avec lequel il a travaillé en 2015 dans le cadre de « La Grosse Emission » sur Comédie +. D’autre part, Jessie Claire l’accuse d’hacrèlement. D’après certaines sources, il s’est fait virer de la radio suite à cette plainte.
Il y a quelques semaines, Belattar s’est produit à Bruxelles. Selon le site Courrier du Rif, il a proféré des propos offensifs et racistes envers la communauté rifaine. La réaction de l’artiste marocain ne s’est pas faite attendre. Il a menacé de déposer une plainte contre le site rifain soulignant qu’il risque de lui coûter 20.000 euros. Conclusion : on n’a pas droit à critiquer son spectacle. Il reflète à merveille la mentalité de son roi, pas Macron, son vrai roi, Mohammed VI.
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