Le Maroc, cette machine à créer des terroristes, des criminels et des dealers

Selon une étude réalisée par l’UNESCO, le Maroc ne dispose pas d’une politique mise en œuvre en matière de politique de prévention de la violence extrême (PVE), ni même de simple politique effective de lutte contre la violence qui est courante au sein des Ecoles et de leur environnement. L’approche retenue de lutte contre l’extrêmisme violent se situe en dehors du système éducatif. Elle est pour l’essentiel sécuritaire.

L’étude pointe du doigt la responsabilité des écoles. « Le système éducatif souffre de nombreux problèmes dont certains peuvent avoir des effets sur la violence et l’extrémisme violent et rendent leur prévention difficile. Parmi les aspects à signaler figurent l’encombrement des classes, le déficit des ressources humaines en enseignants et en administratifs ».

A cause des lacunes de l’enseignement, « des centaines de milliers d’enfants se retrouvent en dehors du système éducatif peu ou non outillés. Les niveaux d’acquisitions scolaires observés sont faibles pour bien préparer une majorité d’enfants à une intégration sociale et professionnelle ».

« Par ailleurs, des conditions sociales défavorables (pauvreté, violences et problèmes familiaux et sociaux) peuvent également contribuer à la vulnérabilité des jeunes. C’est ainsi qu’ils peuvent être exposés à des risques de délinquance, de drogue et de manipulation idéologique et religieuse. Ces problèmes ont besoin d’être traités de manière globale à l’échelle de la société », a-t-on ajoute.

Les manifestations de la violence (et des incivilités) sont perceptibles aussi à l’étranger où la violence des marocains est percetible aussi au niveau des politiciens d’origine marocaine tel M’Jid el Guerrab, ancien député LREM élu après avoir rejoint le LREM de Macron, sans doute parce qu’il aura pensé y avoir plus de chances. Ce Monsieur a rencontré dans un café Monsieur Boris Faure, son ancien collègue du PS  et au terme d’une conversation plutôt musclée, il lui a asséné des coups de casque jusqu’à le mettre KO et l’envoyer dans un état grave à l’hôpital.

Les attentats terroristes les plus meurtriers en Europe ont été perpétrés par des marocains et ces derniers continuent de faire la une de la presse internationale. Rien que cette semaine, la violence des marocains a été cité dans de nombreux médias :

Italie : Un Marocain âgé de 25 ans a agressé, dimanche, deux carabiniers qui tentaient de l’arrêter à Airuno, une ville de la province de Lecco (Lombardie), en Italie.

Selon Il Giorno, les deux victimes ont interpelé le Marocain, à bord d’un scooter T-Max et qui attendait un client pour lui fournir de la drogue. Le jeune homme de 25 ans les aurait immédiatement attaqués, avec des coups de poings et de pieds et même des morsures.

– Le journal italien Il Giornale a rapporté que l’actrice italienne Gloria Cuminetti a été attaquée samedi par un ressortissant marocain dans l’une des rues les plus fréquentées de Turin.

La célèbre actrice a reçu un coup de poing «sans raison» par l’homme, identifié comme un migrant irrégulier de 34 ans.

France :   Après Saad Lamjarred, une autre star arabe est accusée de viol : Abdelfattah Jaouadi, un célèbre comédien marocain, qui ferait l’objet de graves accusations de viol sur une jeune française originaire de Grenoble.

Tunisie : Les unités sécuritaires relevant de la brigade des recherches judiciaires de la garde nationale ont procédé ce lundi 16 septembre 2019 à l’arrestation d’un ressortissant marocain ayant agressé l’un des agents sécuritaires à l’aide d’une dague. Le jeune homme qui est un dealer a refusé de donner aux agents d’une patrouille sécuritaire ses papiers avant de faire sortir une dague et d’agresser un agent. Le jeune homme a fini par être maîtrisé par les sécuritaires selon le porte-parole de la direction générale de la garde nationale Housseme Jbabli qui s’exprimait au micro de Mosaïque fm.

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