#Je_renonce_ma_nationalité_marocaine pour des raisons: au Maroc n’y a pas de la démocratie et l’État de droit qui me garantisse le droit de vie digne et la sécurité, quand le régime n’a aucune légitimité populaire est se comporte en force occupante, qui n’a que des reflex sécuritaires.
Nous vivons dans une grande prison, « chimiquement » occupés. Le citoyen marocain injustement traité, l’indifférence, l’insolence, l’injustice, l’humiliation, impuissant et frustré face aux différentes formes que prend l’abus de pouvoir ou le viol de la loi.
Il se réfère au fait d’être méprisé, d’avoir le sentiment de ne pas être un être humain. le régime monarchique« néo- féodal »reflète un Etat de non droit, fondé sur la notion d’une force supérieure, seigneuriale, caïdale ou makhzénienne, à laquelle on doit tout et qui ne vous doit rien, à cette intériorisation silencieuse de la domination et de l’humiliation de la part des dominés, dont la tête de régime à réadapter la citation qui dit “affame ton chien, il te suivra” le but d’appliquer cette politique à la lettre, le chef de l’état « le roi » et sa famille a pris le soin de s’assurer le contrôle de plus de 80% de l’économie du Maroc dans le but de l’utiliser comme moyen de pression contre quiconque ose lever sa voix de demander ses droits ou réclame l’injustice.
Qu’est-ce que nous espérons d’un régime dictateur totalitaire qui base sa politique sur les selfies et les photos de protocole pour flouer le peuple? Par conséquence le régime des prédateurs et ses acolytes vont tomber dans le trou qui ont creusé eux même à raison de traiter cette peuplade de schizophrènes comme des esclaves
Aujourd’hui, le Maroc et son régime illégitime est au bord de l’implosion à cause de cette politique d’appauvrissement des pauvres et l’enrichissement de la mafia des prédateurs. Les conséquences sont bien visibles: des manifestations secouent toutes les régions du pays.
Donc, cette dictature locale alliée à la domination étrangère qui constitue le problème essentiel dont découle notre crise générale.
Par : Bahia Orilio
Source : La face cachée du Maroc
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