Le TOP 15 des personnalités qui ont marqué l’Algérie en 2018

Pour la dixième année consécutive, le site almanach-dz.com (site électronique d’informations documentaires nationales, créé en 2005 et mis sur la Toile en 2007) présente sa liste des personnalités les plus influentes (Very influent personalities, VIP) . Durant les deux premières années , la liste avait sacrifié aux canons habituels en se limitant à un Top ten (10). Depuis 2011, il s’agit d’un TOP 15.

Le choix se porte, non sur des personnalités occupant des postes de décideurs (dites « importantes ») mais, sur des personnalités (ou groupes de personnes) qui, tenant compte de leur notoriété, position, fonctions et actions ont un « pouvoir » d’influence durable, un temps ou longtemps, sur tout ou partie (s) de la société et/ou sur la vie quotidienne des citoyens et leur devenir. Nouveauté à partir de 2013 : Les personnalités occupant des postes de responsabilité stratégiques ou assumant de très hautes fonctions décisionnelles ou de commandement sont exclues du classement pour éviter toute « concurrence déloyale ».

Le choix s’est fait sur la base d’une observation continuelle des médias (et de la société ) , mensuellement, tout au long de l’année avec, en parallèle, la récolte d’avis et d’opinions, tout particulièrement dans les milieux de l’enseignement universitaire et de la presse (large panel de consultants bénévoles).

RAPPELS: VIP 2017 (TOP 15), Chemsou Dz Joker (Chemseddine Lamrani) et Anes Tina…./VIP 2016 (TOP 15), Bouterfa Noureddine, ministre de l’Energie suivi de (feu) Hocine Ait Ahmed….. / VIP 2015 (TOP 15), Nouria Benghebrit-Remaoun suivie de l’ANP……. / VIP 2014 (TOP 15), Liamine Zeroual suivi de Haddad Ali ……/ VIP 2013 (TOP 15), Me Ali Yahia Abdenour suivi de Zohra Drif ……./ VIP 2012 (TOP 15), Abdelmalek Sellal, premier ministre……. / VIP 2011 (TOP 15), Daho Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales…… / VIP 2010 (TOP 10), Gendarme et-ou Policier chargé de la circulation routière ……./ VIP 2009 (TOP 10), Bouteflika Abdelaziz, Chef de l’Etat.

1/ MOHAMED AISSA

Ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, il s’est fait remarquer pour son érudition, son ouverture d’esprit, sa tolérance et surtout son savoir-faire face au radicalisme religieux sévissant encore (ou ressurgissant parfois) .Il a su mener à bien la cérémonie de béatification , à Oran (en la Basilique de Notre Dame de Santa Cruz), des 19 personnalités religieuses chrétiennes (catholiques), assassinées durant la décennie rouge (années 90) par le terrorisme islamiste…..qui a vu, aussi, 114 imans assassinés.

Par ailleurs, il a réussi à entreprendre une réforme en profondeur des programmes de formation des imams , à entamer, avec les ministères concernés, une révision des cours de religion islamique dispensés dans les école primaires et les lycées

2/ IDIR

La coupole du complexe sportif du 5 juillet d’Alger a vibré, jeudi 4 janvier 2018, au rythme d’un spectacle de retrouvailles du grand chanteur kabyle Idir. Le public a, pendant trois heures, partagé avec son idole des moments pleins d’émotion. L’enfant prodige venant de remonter sur scène après une absence qui a duré 39 ans.

Pour la dixième année consécutive, le site almanach-dz.com (site électronique d’informations documentaires nationales, créé en 2005 et mis sur la Toile en 2007) présente sa liste des personnalités les plus influentes (Very influent personalities, VIP) . Durant les deux premières années , la liste avait sacrifié aux canons habituels en se limitant à un Top ten (10). Depuis 2011, il s’agit d’un TOP 15.

Le choix se porte, non sur des personnalités occupant des postes de décideurs (dites « importantes ») mais, sur des personnalités (ou groupes de personnes) qui, tenant compte de leur notoriété, position, fonctions et actions ont un « pouvoir » d’influence durable, un temps ou longtemps, sur tout ou partie (s) de la société et/ou sur la vie quotidienne des citoyens et leur devenir. Nouveauté à partir de 2013 : Les personnalités occupant des postes de responsabilité stratégiques ou assumant de très hautes fonctions décisionnelles ou de commandement sont exclues du classement pour éviter toute « concurrence déloyale ».

Le choix s’est fait sur la base d’une observation continuelle des médias (et de la société ) , mensuellement, tout au long de l’année avec, en parallèle, la récolte d’avis et d’opinions, tout particulièrement dans les milieux de l’enseignement universitaire et de la presse (large panel de consultants bénévoles).

RAPPELS: VIP 2017 (TOP 15), Chemsou Dz Joker (Chemseddine Lamrani) et Anes Tina…./VIP 2016 (TOP 15), Bouterfa Noureddine, ministre de l’Energie suivi de (feu) Hocine Ait Ahmed….. / VIP 2015 (TOP 15), Nouria Benghebrit-Remaoun suivie de l’ANP……. / VIP 2014 (TOP 15), Liamine Zeroual suivi de Haddad Ali ……/ VIP 2013 (TOP 15), Me Ali Yahia Abdenour suivi de Zohra Drif ……./ VIP 2012 (TOP 15), Abdelmalek Sellal, premier ministre……. / VIP 2011 (TOP 15), Daho Ould Kablia, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales…… / VIP 2010 (TOP 10), Gendarme et-ou Policier chargé de la circulation routière ……./ VIP 2009 (TOP 10), Bouteflika Abdelaziz, Chef de l’Etat.

1/ MOHAMED AISSA

Ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, il s’est fait remarquer pour son érudition, son ouverture d’esprit, sa tolérance et surtout son savoir-faire face au radicalisme religieux sévissant encore (ou ressurgissant parfois) .Il a su mener à bien la cérémonie de béatification , à Oran (en la Basilique de Notre Dame de Santa Cruz), des 19 personnalités religieuses chrétiennes (catholiques), assassinées durant la décennie rouge (années 90) par le terrorisme islamiste…..qui a vu, aussi, 114 imans assassinés.

Par ailleurs, il a réussi à entreprendre une réforme en profondeur des programmes de formation des imams , à entamer, avec les ministères concernés, une révision des cours de religion islamique dispensés dans les école primaires et les lycées

2/ IDIR

La coupole du complexe sportif du 5 juillet d’Alger a vibré, jeudi 4 janvier 2018, au rythme d’un spectacle de retrouvailles du grand chanteur kabyle Idir. Le public a, pendant trois heures, partagé avec son idole des moments pleins d’émotion. L’enfant prodige venant de remonter sur scène après une absence qui a duré 39 ans. Le dernier spectacle de Idir en Algérie remonte à l’année 1979 dans cette même Coupole. Près de 5000 spectateurs ont fait le déplacement pour ce concert, annoncé depuis plusieurs mois et très attendu par les fans du chanteur.

3/BENTOUNES KHALED

Le président Bouteflika décore, mercredi 16 mai 2018, Cheikh Khaled Bentounès, fondateur et président d’honneur de l’Association internationale soufie Alawiyya (AISA), de la médaille Ahid de l’ordre du Mérite national. La médaille a été remise, au siège de l’Unesco à Paris, à ce guide spirituel de la confrérie soufie Alawiyya, au cours de la célébration pour la première fois, de la « Journée internationale du vivre ensemble en paix » (JIVEP), un évènement dont la consécration au niveau mondial est le fruit d’une initiative algérienne. L’idée d’une journée pour le vivre ensemble a été formulée, rappelle-t-on, en 2014, lors d’un congrès à Oran, par l’Association internationale soufie Alawiyya (AISA), une ONG affiliée à l’Association cheikh El-Alawi pour la culture et l’éducation soufie, basée à Mostaganem. Présenté par l’Algérie, le projet a été adopté par consensus par les pays membres de l’Organisation des Nations unies (ONU), en décembre dernier (Résolution 72/130 de l’Assemblée générale).

4/NOURIA BENGHEBRIT

.De tous les membres de plusieurs gouvernements, Nouria Benghebrit est la seule à avoir fait l’objet d’un tir groupé émanant des partis islamistes, de l’association des ouléma et de personnages intégristes. Si un véritable «arsenal» a été déployé contre elle, ses contradicteurs n’ont pas réussi à la démoraliser. C’est un fait, encore visible aujourd’hui, puisque après l’épuisante épreuve de la grève du Cnapeste (février –mars 2018) , elle a reçu les syndicats du secteur, prête à mener d’autres combats.

Ce tempérament de battante, on peut aisément le deviner à la lecture d’une partie de sa biographie: «Elle obtient en 1973 une licence en sociologie, puis en 1977, soutient son diplôme d’études approfondies (DEA) en sociologie de l’éducation à l’université d’Oran sur la problématique de l’orientation scolaire et professionnelle. Elle était une étudiante studieuse, en phase avec les données politiques de l’époque qui mettaient la majorité dans le giron des «progressistes» luttant contre l’impérialisme et le capitalisme exploiteur.

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