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Les femmes marocaines prostituées par leurs gouvernement

En échange d’un soutien au plan d’autonomie marocain pour le Sahara Occidental, le Maroc a accepté de sous-traiter la torture pour la CIA. Pour garder le soutien de la France, Rabat n’a jamais pris de mesures contre les responsables français venus au pays pour assouvir sa soif perverse. Pour doper l’économie marocaine, Marrakech a été convertie en deuxième Thaïlande et le cannabis est devenue une source d’argent importante pour payer les frais de l’armée marocaine au Sahara Occidental.
Les gouvernants marocains, après avoir prostitué leur pays aux occidentaux, les voilà s’apprêter à exporter des femmes domestiques vers l’Arabie Saoudite comme si c’était une marchandise quelconque, du phosphate par exemple, qui va générer de la devise qui se fait rare.
Les deux pays sont sur le point de finaliser l’accord qui ouvrira la voie aux « agences saoudiennes spécialisées » pour recruter ces domestiques marocaines. Les autorités saoudiennes se seraient rabattues sur le Maroc après le refus des pays fournisseurs traditionnels de domestiques, notamment l’Indonésie et les Philippines, de donner suite à de nouvelles demandes saoudiennes. Tout le monde connaît les raisons de ce refus. Ces femmes étaient battues, violées et exploitées sans même avoir droit à un petit salaire. Les nombreux scandales de servantes maltraitées par les familles saoudiennes ont visiblement poussé leurs pays à réclamer des conditions de travail et un traitement plus humain de leurs ressortissantes. Mais l’Arabie Saoudite semble disposer d’une solution de rechange : le Maroc. 
Après avoir poussé le pays à la mendicité internationale en échange d’un soutien à la colonisation du territoire sahraoui, les dirigeants marocains acceptent de vendre leurs ressortissantes aux émirs saoudiens pour laver leur saleté. Celui qui ose le dénoncer au Maroc subira le sort d’Ali Anouzla premier journaliste marocain à avoir dénoncé la décision du souverain marocain de grâcier le pédofile Daniel Galvan.
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